Ludvine Schmitz – La vaccination des enfants

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L’invité de PHARE FM
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Ludvine Schmitz - La vaccination des enfants
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Ludvine : Bonjour à tous. Aujourd’hui on réfléchit à la question de la vaccination des enfants contre la Covid-19. Sans conclusion hâtive, en invitant les parents à ne pas agir dans la précipitation malgré un certain matraquage médiatique et des menaces sur la scolarisation de leurs enfants.

PHARE FM : Pourquoi cette vaccination vous rend-elle soucieuse, Ludvine?

Ludvine : Eh bien il y a un an encore, on affirmait que les populations à vacciner étaient les plus fragiles face à la Covid-19, personnes âgées et/ou atteintes de comorbidités. Les enfants ne craignaient rien. La publicité pour inciter les grands-parents à se faire vacciner mettait une grand-mère en scène. Assise dans son canapé, en attente du vaccin censé la délivrer de sa solitude forcée, elle rêvait déjà de ses deux petits-enfants déboulant dans son salon et l’embrassant. Aujourd’hui le discours ambiant a changé au point que les publicitaires pourraient reprendre ce spot en inversant les rôles : les petits-enfants dans le canapé en passe d’être vaccinés, entrevoyant en récompense Mamie venant les embrasser!

PHARE FM : Mais le but est le retour vers une scolarisation normale des enfants, sans tests, sans masques, sans distanciation sociale.

Ludvine : La vaccination des adultes était censée leur permettre de retrouver ces libertés. Aujourd’hui, elle est au plus un Sésame-ouvre-toi pour des musées, concerts, restaurants et destinations de vacances. Car le vacciné peut toujours contracter la maladie, être soi-même contaminant (alors qu’au début se faire vacciner était présenté comme un acte altruiste). Le vaccin est à l’origine d’effets secondaires plus ou moins graves, et des experts internationaux l’accusent de favoriser l’apparition de mutants. Des scientifiques refusent l’appellation de vaccin classique et parlent de thérapie génique. Ces produits encore en phase de test n’ont bénéficié que d’une procédure d’autorisation d’urgence. Nos gouvernements, après avoir de concert enterré toutes les propositions de thérapies médicamenteuses, ont investi massivement dans le tout-vaccin. L’Union Européenne a subventionné des laboratoires pour son développement, et a acheté des millions de doses pour elle et pour des pays pauvres.

PHARE FM : On propose désormais la vaccination des 16-12 ans. Va-t-on venir à celle des 12-5 ans?

Ludvine : L’abaissement de la vigilance d’une majorité de la population entraîne un regain d’audace de nos dirigeants. Si les parents se montrent dociles, la vaccination des 12-5 ans suivra logiquement. Aux Etats-Unis et au Canada des vaccins à ARN-messager sont testés sur de jeunes enfants et des bébés de 6 mois. Dans ces tests sur mineurs, il y a eu des cas de coma, de caillots sanguins dans le cerveau, d’atteintes du myocarde, et même des décès. Les laboratoires protégés derrière leurs clauses de non-responsabilité, n’envisagent même pas d’aider les parents à régler les frais des enfants hospitalisés à la suite de ces tests. A l’échelle internationale, des pédiatres, médecins, généticiens redoutent des conséquences sur la fertilité future des enfants vaccinés et la recrudescence de maladies auto-immunes. Le principe de médecine «Primum non nocere», qui signifie «d’abord, ne pas faire de mal», s’applique d’autant plus aux enfants dont la balance bénéfice-risques n’est pas du tout comparable à celle des plus âgés.