C’est à voir — Nefarious, un film sur Satan et ses démons, avec Marie Laure Liller

« Il ne devrait pas tenter le diable », telle est l’accroche du film réalisé par Cary Solomon et Chuck Konzelman (connu pour le long métrage portant sur la réalité de l’avortement « Unplanned« ), « Nefarious » est à découvrir en salle de cinéma uniquement les 28 et 30 mars. Explications sur cette sortie hors des sentiers battus avec Marie-Laure Liller, Responsable programmation pour SAJE Distribution.
C’est un film totalement inattendu, qui sortde ce qu’on a l’habitude de proposer au cinéma.
Synopsis : Le jour de son exécution, un tueur en série condamné à la chaise électrique subit une dernière évaluation psychiatrique au cours de laquelle il révèle être possédé par un démon. Il affirme qu’avant la fin de la journée, le psychiatre aura lui-même commis trois meurtres. Loin d’être exaltant…
En fait, on est vraiment sur un type de film qui se rapproche un peu de « La Ligne Verte », sorti il y a plusieurs années. C’est presque un huis clos entre le psychiatre et le condamné à mort qui, lui, dit être possédé par un démon, sur justement les cas de possession. Les réalisateurs, qui n’en sont pas à leur coup d’essai, ont vraiment poussé le curseur très loin pour être le plus proche de ce qui peut exister.
Ce thriller d’1h33, interdit aux moins de 12 ans, est approché comme un enseignement chrétien de l’ennemi de Dieu, nommé Satan, et ses anges appelés démons, afin de prévenir de cette réalité qui peut gâcher toute une vie !
Le but ? Alerter, avertir. Cette proposition est de prendre le concept de tout ce qui peut exister, comme « L’exorciste », et de l’utiliser comme un signal d’alerte en disant : Attention, ce sujet existe, il est réel, et faites attention, ce n’est pas un jeu !.