C’est à voir — Un cours nommé Missiologie auprès des sportifs et Aumônerie du sport, avec Joël Thibault

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C'est à voir — Un cours nommé Missiologie auprès des sportifs et Aumônerie du sport, avec Joël Thibault
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« Missiologie auprès des sportifs et Aumônerie du sport« , tel est le nom du nouveau cours proposé à l’Institut de Théologie Réformée Charismatique (ITRC). Pour qui et dans quel(s) but(s) ? Réponses avec celui qu’on appelle l’aumônier des champions et qui endosse pour l’occasion le rôle d’enseignant, Joël Thibault.

Cela permet de vraiment aller en profondeur sur la notion de l’utilisation de notre corps, comme le dit la Bible, de revenir sur l’origine du sport moderne et de poser un regard chrétien sur cette question.

À 43 ans, il ajoute donc une nouvelle casquette à sa passion de connecter Dieu au monde du sport à travers un cursus de 30 heures réparties en 12 séances en direct et en replay. Fort de son expérience, à la fois en tant qu’ancien footballeur amateur, entraîneur pour la Fédération Française de Football, et pasteur, y compris pour des célébrités comme Olivier Giroud, l’enjeu d’un tel parcours auprès des jeunes générations d’une part, et des chrétiens qui pratiquent le sport de haut niveau d’autre part semble être de taille.

L’enjeu est de pouvoir représenter Christ dans toutes les sphères de la société et de vraiment s’appuyer sur ce que dit la Bible et pas forcément sur les stars qui justement peuvent parfois ne pas être un bon reflet de l’Évangile. Comment réellement pouvoir impacter le monde du sport avec l’amour de Dieu ? C’est tout un travail qui prend du temps. Ce cours sera aussi très interactif avec les expériences des uns et des autres parce qu’il y aura des sportifs professionnels qui participeront à la formation.

Alors que la question du sport n’est pas vraiment un fort pour l’Église, notamment parce que souvent les compétitions ont lieu le weekend, l’invitation à changer notre regard et notre rapport au sport, et au corps, quand on a grandi dans ce reproche-là, est ainsi lancée…

Il faut voir la relation à Dieu d’abord comme prioritaire, puis la relation à l’Église. C’est l’occasion de se dire que l’Église, ce n’est pas seulement le dimanche matin, il y a plein de manières de vivre l’Église réunie comme l’Église dispersée. C’est ce qu’on va regarder avec cette notion du sport qui peut être aussi un travail.